14/12/2002

Forum & débats Vous trouverez ci-dessous le rapport de synthèse du débat, Mis à jour le 08/12/2002
Voir aussi => les Contributions des militants et des sections, les "Rénovateurs" du NPS" , et "Le péché originel du P.S."
Pour le courant d'Henri Emmanuelli, voir le site "Nouveau Monde"
Pour un aperçu succinct et néanmoins complet du débat réformistes-radicaux => "Rompre avec le réformisme mou !" (Fondation Copernic)
Le point en Juin 20003 : bientôt le point de rupture => Parti socialiste, socialisme parti (Le Monde, 10.06.03)
FEDERATION DE LA GIRONDE 25/10/02 CAHIER FEDERAL, SYNTHESE DES DEBATS
Le 1er Secrétaire Fédéral a "ramassé les copies" et propose ci-après une synthèse des débats des militants / des sections et y apporte sa contribution.
Et puisqu'une contribution demande "Est-ce en n'écoutant que les encartés qu'il saura pourquoi les autres n'ont pas voté pour Jospin ?", tentons d'y répondre avec la synthèse d'un ex-encarté, afin que nul n'ignore ce que certains ne veulent pas trouver et ce que d'autres veulent "gommer".
2 - L'identité socialiste 4 - Services publics, institutions et démocratie
3 - La mondialisation et l'Europe 5 - La lutte contre les inégalités

1 - LA RENOVATION DU PARTI ET LE RASSEMBLEMENT DE LA GAUCHE

Notre échec lors des élections présidentielles est analysé comme une défaite collective, même si la campagne est jugée trop personnelle, sans lien avec les militants, tournée trop vers le bilan
{comment au contraire expliquer que l'examen du bilan se limite globalement à la seule campagne (cf. sur le site de "Nouveau Monde" : "L'échec vient de loin") si ce n'est parce que les chefs ne tiennent pas trop à ce qu'on s'appesantisse sur le bilan, puisque les "verrouilleurs" de la direction ont bien fait savoir aux fédérations que "Le temps du débat militant s'est clos le 15 Décembre après le discours de François H. à Montreuil" ? }
et pas assez vers le projet ,
{les "unitaires" - qui n'ont pas la dignité de leur chef pour s'accrocher ainsi - y poussent, et certaines contributions (Caudéran) y font écho, mais, dans "Du Réel et de l'Idéal" (contrib. 33) , on critique plutôt "le mandat avant le projet". Que ce soit sur le bilan ou sur le projet, il faut donc "gommer" les contributions "hétérodoxes" pour préserver l'unité},
défaite fondée sur une anticipation du second tour alors qu'il s'agissait d'abord de rassembler l'électorat socialiste au premier {sur un programme non socialiste ? =>}. La phrase "mon programme n'est pas socialiste" a beaucoup choqué.
{n'est-il pas alors choquant que plusieurs Secrétaires Fédéraux (contrib. 44) ou de section (Taillan) reprennent ce refrain : "il serait temps que le PS devienne un parti social-démocrate" ? Si effectivement, il ne suffit pas de "trouver quelques boucs émissaires" pour dresser un bilan, et si l'on peut considérer que certains puissent être "responsables mais pas coupables" au motif de l'incertitude scientifique (sang contaminé), bien d'autres orientations et choix doivent être assumés}

Pour beaucoup, la défaite, provoquée par les abstentionnistes {mais pourquoi "glisser" sur les causes de leur abstention ?} et la dispersion des voix, est vue comme la conséquence d'un ancrage insuffisamment marqué à gauche.
{pourquoi alors ne pas parler d'un projet "+ à gauche" ? }
Mais simultanément, la très grande majorité des militants admet que le bilan du gouvernement de Lionel JOSPIN a été le plus à gauche en Europe {que Blair soit plus à droite n'est pas une raison suffisante pour refuser d'aller "+ à gauche"}
et salue les réformes qui ont été engagées, notamment les emplois jeunes et les 35 heures ainsi que la baisse du chômage ("le meilleur bilan d'une législature de la Vème République", selon une section
{on omet de citer "Le bilan n'est pas bon" de la contribution 55, et surtout qu'il est escamoté (limité à des variations sur les insuffisances de la campagne) dans la grande majorité des contributions. Pas bien ;-) }.
Sur les 35 heures, beaucoup regrettent l'absence de concertation lors de la loi Aubry 2. {avant Aubry 1, au forum sur l'emploi de Marmande de 98, A.VIDALIES avait attiré l'attention sur le danger de l'annualisation, mais guère vu celui des accords par entreprise, et M. ALONSO avait anticipé la dérive des incitations financières aux entreprises}
Le sommet de Barcelone et les différentes prises de position sur l'ouverture du capital d'EDF sont souvent cités comme ayant conduit à la démobilisation de notre électorat. La réduction d'impôts sous forme de la prime à l'emploi n'apparaît pas aux yeux de militants comme une mesure qui s'imposait alors que d'autres rappellent que l'allégement fiscal {on "oublie" de distinguer entre I.R. et TVA. J'ai dit "bizarre" ?} constitue une attente forte des Français,
Quelques militants incriminent aussi "l'absence de communication sur le bilan", ou encore le fait que les réformes se seraient arrêtées en 2000.
{le conditionnel indique que le "synthétiseur" ne partage pas cette opinion, et que cela soit crédible en ce qui concerne les réformes "sociétales", soit, mais cela gomme un élément à mettre au passif du bilan : que des visées principalement électoralistes et tactiques ont freiné - ou bloqué - la poursuite des réformes. Il faut y ajouter le coût de 2 référendum et "l'autisme" de leurs initiateurs face au désintérêt justifié du peuple qui, semble-t-il était plus intéressé à quelques retombées des cagnotte de la croissance sur leur pouvoir d'achat}

La question de la sécurité comme cause de l'échec est très peu abordée.
Lorsqu'elle l'est, elle est immédiatement replacée dans le cadre de la désagrégation sociale urbaine.
{Lorsqu'elle l'est, la synthèse ne doit-elle pas mentionner plutôt la "lépénisation" des militants qui l'évoquent ? A Mérignac, c'est carrément le délire militariste, et pour Martignas "Le problème de la sécurité n'a pas été géré (sauf par Julien DRAY)" . Bravo pour les 60 000 déboutés de la circulaire Chevènement, la double peine, la LSQ, les centres fermés pour "sauvageons" , la lépénisation de la campagne ?}

Les militants ont le sentiment que le pouvoir à l'intérieur du parti leur est confisqué par un cercle restreint de hauts responsables, toutes sensibilités confondues ("le problème de la coupure au sein du PS, base/direction", "le parti n'a joué qu'un rôle de godillot sans critique de l'action gouvernementale").
{à partir de ce constat, pourquoi aucun examen n'est-il fait de ses causes - alors que le débat porte sur les causes de la défaite - et aucun remède n'est-il proposé ? Vous avez dit "projet" ? }
Les mêmes réflexions s'appliquent à la Fédération. Ils doutent que leur avis, y compris celui qui leur est demandé aujourd'hui soit pris en compte. {lors des forums de l'emploi il y a 5 ans, la même crainte avait été exprimée et elle s'est révélée fondée. Les militants ne doivent-ils pas en tirer une leçon et exiger, sinon un contrôle de leurs représentants, du moins des engagements précis de leur part ?}
Ils comprennent mal par exemple que la désignation du candidat à l'élection présidentielle ait pu intervenir en trois jours, mais que le vote du second tour en faveur de J.CHIRAC dont la nécessité est peu contestée n'ait pas pu faire l'objet d'une consultation, ni que le programme des élections législatives n'ait pas fait l'objet d'un débat.
Globalement, une démocratisation du parti est souhaitée, - "la rénovation de notre parti est la première étape préalable, urgente, indispensable" précise même une contribution, même si certains font observer que le parti lui-même aurait d'abord besoin de mieux refléter la société française et donc de s'ouvrir davantage. Une contribution collective considère "la réforme du PS est prioritaire : moins de place pour les courants, un plus grand rôle des sections dans les Fédérations et des Fédérations dans le PS sont nécessaires". {bien sûr, on oublie de dire que la démocratie commence à la base (voir "Démocratie dans la section") : les militants peuvent-ils influer sur les ordres du jour, ont-ils quelque droit de regard sur les plate-formes des candidats à la candidature et exigent-ils d'eux des engagements précis et dans ce cas celui de rendre compte de les respecter ; le rôle des militants n'est-il pas limité à avaliser les orientations des élus (cf. tramway, pont), ont-ils seulement accès au carnet d'adresses de la section et la synergie horizontale peut-elle être exercée, ou des bureaux souvent clientélistes ne font-ils pas tout ce que veulent leurs chefs ? Peut-on attendre de ces derniers qu'ils mettent à l'ordre du jour une prise de position inflexible sur le cumul ou sur une représentation minimum des précarisés dans les instances du parti ? }

La commission "Femmes" lance un appel : "Nous, femmes socialistes girondines, exigeons l'instauration une fois pour toutes d'une République non sexiste = condition fondamentale de succès pour accorder aux femmes ce qui leur a été refusé pendant deux siècles = une pleine citoyenneté."
{Pourquoi ne pas évoquer le bilan qui est fait de La loi sur la parité : "Le mandat intercommunal, qu'on présente comme technique alors qu'il est politique, n'a pas été comptabilisé. Le cumul des mandats dans le temps n'a pas été envisagé. La loi n'a eu aucun effet sur l'exclusion renforcée des populations étrangères vivant sur le territoire national."
Les "Françaises" aussi ont perdu sur le plan de la parité économique puisque la précarisation des emplois s'est accentuée et que ce sont les populations les plus fragiles qui en sont les 1ères victimes (cf. Crédit d'impôt et prime à l'emploi, IV) .
Pourquoi non plus ne pas évoquer la contribution 39, de Catherine Brisé-Veyssy (Adjointe au Maire, Lormont), sur "la parité et la justice sociale" et le bilan sévère qu'elle dresse ? Nul doute que les militantes souhaitent (n'en déplaise à la "représentante Nationale" Mireille K.) que cette erreur soit comblée et que la "dinde soit mise dans le four ;-)". Voici donc ce que rapporterait une synthèse "non sexiste" :
"Le PS, sans boussole politique autre que celle dictée par l'inversion du calendrier électoral depuis 2 ans déjà, a préféré payer "l'impôt femmes" que de faire œuvre d'exemplarité politique (1 323 722 € de pénalités)... Ces cumulards, voyageurs ... couardises...recycleurs"
{sur le site de l'Assemblée, il est assez remarquable de voir son rôle de 1ère agence de voyages gratuits, alors que le droit de circuler est nié aux exclus qui sont "assignés à résidence" et que les frontières de l'union - si perméables aux capitaux - se ferment lorsque les militants alter-mondialistes veulent organiser des rassemblements européens.}
.

Les nouveaux militants, pour la plupart, sont réfractaires à l'organisation du parti en courants et regrettent l'impression de division qu'elle génère. {en fait, seule la section de Pessac (contrib. 8 & 12) regrette "le combat des chefs", et c'est le courant "Socialisme & démocratie" (contrib. 54) qui demande "moins de place pour les courants" ! Quant aux nouveaux militants, la contrib. 69 demande "d'être vigilants car ils ne sont pas toujours formés aux sensibilites et aux courants". Le synthétiseur tire encore vers l'unité.}
Certains anciens soulignent que les courants sont moins à mettre en cause que les "écuries présidentielles" (contrib. 16)
{motus sur les hippodromes locaux, alors que "la plupart" des nouveaux & anciens parlent de fiefs, d'un parti de notables dont le seul souci est électoraliste, de manoeuvres pour la maîtrise du parti...}

Les militants demandent également une meilleure intégration des élus dans la vie du parti, même si observation est faite que l'élu est aussi un militant désigné par d'autres militants pour assumer un mandat. Une section rappelle ainsi que "l'on a les élus que l'on mérite".
{Il est assez plaisant de voir que le synthétiseur, lui-même si "consensuel" avec les "hégémoniques", se permet de rappeler la servilité des militants socio-médiocrates, incapables mêmes de demander des engagements aux candidats à la candidature. Quant à nous, pour la servitude volontaire, on a déjà donné.}.
Il est toujours souhaité un véritable statut de l'élu qui permettent à toutes les catégories sociales et non seulement aux agents de la Fonction publique d'exercer un mandat.
{ N'est-il pas plaisant de voir que les élus et autres responsables ne tiennent pas du tout à profiter des avantages du Plan de Retour à l'Emploi auquel ils ont donné leur agrément, alors que certains bénéficient déjà d'avantages exorbitants du droit commun ? (voir la page "Ce que perçoivent nos élus"). Pourquoi en parallèle à son statut, la responsabilité de l'élu n'est-elle point évoquée (cf. extrait du site de la C6R, l'article de de M. Paoletti : "Démocratie locale participative") ? Et puisque les "militants" n'en parlent pas, ou si indirectement, (ce qui n'est pas sans entraîner des réserves, voire un sérieux doute sur leur liberté de conscience, et quelque étonnement sur le degré de manipulation atteint), pourquoi ne pas évoquer votre projet de donner au moins autant d'importance à la représentation des exclus, ne serait-ce qu'au sein du bureau fédéral, qu'au sort des élus, quand même plus enviable, même sans cumul ? Peut-on croire que les militants associatifs et syndicaux soient satisfaits quand le statut des bénévoles associatifs/syndicaux n'est mentionné dans aucune contribution alors même que le statut de l'élu semble avoir été cloné à l'insu du plein gré des militants ? Diantre !}

Peu de militants se prononcent sur le rassemblement de la gauche. Ceux qui s'expriment demandent que l'on revienne à un programme commun, première condition de candidatures communes ou convergentes et que l'on s'ouvre sur la gauche mouvementiste (Attac). Quelques contributions prennent toutefois position pour un grand parti de toute la gauche qui se distinguerait ainsi de l'UMP et d'un pôle de radicalité.
{si Attac en fait partie, n'est-ce pas désavouer ceux qui prétendaient que la taxe Tobin était irréalisable ? Et dans ce cas, comment imaginer qu'Attac accepte comme interlocuteurs ceux-là mêmes qui n'ont pas montré beaucoup de zèle à lutter contre les paradis fiscaux, disaient que taxer la spéculation était irréalisable, et leur bloquaient les frontières hier ? En Janvier 2003, idem avec "l'Autre Davos" et Attac Suisse : "Malgré la volonté de diviser le mouvement de la part des autorités suisses et des forces de l'ordre, soutenus par le Parti Socialiste suisse qui à plusieurs reprises a essayé de criminaliser une partie du mouvement, la majorité des manifestant-e-s sont restés uni-e-s dans le refus de ces contrôles identitaires individualisés qui portent lourdement atteinte au droit démocratique fondamental de liberté d'expression.."}
L'extrême gauche, particulièrement Lutte ouvrière, est généralement jugée sévèrement
{être anti-électoraliste dans un système de représentation non proportionnel ne peut être le reproche le plus fort qu'au regard d'un parti très électoraliste ; comment juger ceux qui omettent du bilan leur absence d'explication à sa progression aux dépens du PS et qui ignore la volonté populaire manifestée dans le vote ?}.

Il est fortement souhaité que le parti socialiste ne "sous-traite" plus l'écologie aux Verts
{désavouant ainsi Julien Dray dans sa critique outrancière de Noël. Les "rénovateurs" sont ici en pleine contradiction. Ignorent-ils que dans le reste de la gauche le débat est centré sur le refus futur de servir d'appoint à des "démocrates" si hégémoniques, et que l'ostracisme des "ripolineurs" ne peut que conforter cette orientation ? }
et le social au parti communiste
{si l'on ôte le social aux sociaux-démocrates, nous avons donc le projet d'un parti démocrate dont on voit aux Etats Unis combien il a de mal à se distinguer du républicain. Vous avez dit "utopie" ?}.
Il est demandé à notre parti de traiter l'ensemble des questions et de s'ouvrir à une vision planétaire et donc à des prises de position sur par exemple la qualité de l'eau.
{la privatisation des biens publics n'a sans doute aucune importance. Le 1er secrétaire fédéral aurait pu ajouter à l'actif du bilan la réflexion et l'action menée sur la gestion de l'eau (cf. 4. Services publics) par H. Emmanuelli. Sans doute un oubli, mais il est assez plaisant d'avoir à souligner les éléments positifs du bilan. Et pourquoi ne pas citer Lormont qui propose de confier sa gestion "aux acteurs publics locaux", ou le projet de "nationaliser l'eau" (contrib. 59) ? }.

Enfin, il est jugé nécessaire de rénover le PSE et d'aboutir à un projet commun
{alors on commence à ripoliner sans projet, à moins qu'il ne s'agisse d'initiation à l'art de peindre japonais}
permettant à la gauche de proposer une vision commune de l'Europe. Ce projet devra rappeler en préambule la réaffirmation du politique comme régulateur de l'économique
{Joyeux Noël à Vilvoorde, Michelin, Moulinex, Cellatex, Danone, Daewoo...}.

Une section propose "de revoir notre fonctionnement, donc notre statut, pour travailler, échanger entre la MJS et les sections tout en préservant le fonctionnement actuel et parallèle du MJS "
{Ceux qui se croient autonomes et dont l'ex leader girondin, devenu maire de Pauillac, refusait aux c&p la représentation dont lui-même bénéficiait (cf. Un peu de respect - Point 8). Ceux qui tractent très bien contre le FHaine mais qui laissent certains de leurs élus cumulards renforcer l'antiparlementarisme "primaire" par leur manque d'exemplarité. Braves pompiers, défiez-vous des pyromanes et de certains de vos leaders, qui en échange d'une promotion vous font passer pour des gribouilles et des bouffons. S'il y a encore des étudiants au MJS, quel crédit peuvent-ils encore avoir auprès des adhérents de la MNEF ? Militants, il vous appartient de démontrer que vous êtes adultes et pleinement citoyens. Note du 3 juin 2003 : en fin de manif. contre la casse du service public et de la protection sociale, certains nous affirment qu'ils ne se laisseront plus manoeuvrer par les caciques et sont prêts à s'opposer de front aux socio-libéraux : bon courage, nous verrons bien aux actes.}.

Globalement, les militants demandent que l'unité du parti soit préservée tout en attendant
{s'ils ne font qu'attendre, on leur souhaite de la patience. D'autre part, ce sont plutôt les responsables et les chefs de section qui insistent sur l'unité alors que les militants qui ne sont pas trop "sous influence" insistent plutôt sur le fait que la direction désavouée doit quitter sinon la scène, du moins l'avant-scène. Marianne ne titre-t-il pas "La grande colère des militants" ? Le 1er Secr. Féd., malgré ses qualités indéniables (d'écoute, de compréhension ; orientations jadis fermes sur le cumul...), commet ici un amalgame inacceptable au profit des "unitaires"}
les clarifications indispensables sur notre doctrine {sic pour l'aveu} et ne dramatisant pas un clivage entre une majorité et une minorité qui pourraient coexister
{ce débat n'aurait donc pas commencé à apporter de clarification ? Et dans ce cas, n'est-ce pas l'aveu du refus d'assumer les responsabilités : auto-amnistie générale sauf pour le peuple qui n'a pas compris. On prend les mêmes et on recommence. Alors, on laisse aux postes de commande ceux qui justifient la coexistence des fonds de pension avec la retraite par répartition ? Coexister avec des doctrinaires, des privatiseurs, des partisans de la baisse de l'IR ? Cet œcuménisme est-il bien crédible ? Les prochaines échéances vous rappelleront alors que "faire de la politique, c'est avoir le courage de choisir."}

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