61
Section de LANTON
(Blagon, Cassy, Taussat) =>
* démocratie interne : donner aux militants et aux sections 1 rôle
décisionnel. Ils attendent du congrès...{les
militants pourront "attendre" longtemps qu'on leur "donne"
s'ils ne comprennent pas ce qu'avait dit le 1er secr. fédéral
aux chômeurs & précaires organisés au sein du
PS : "vous n'aurez que la place que vous serez capable de prendre"
=>lire "Démocratie
dans la section"}
* la préoccupation majoritaire est électoraliste {comment
l'inverser si les plates-formes des candidats ne reflètent pas
l'orientation majoritaire des militants, si les candidats une fois élus
n'ont pas de compte à rendre au moins annuellement à ceux
qui les ont fait élire ?}
* statut de l'élu : {pauvres précaires
! ceux qui sont en dessous du seuil de pauvreté compatissent et
comprennent fort bien par exemple que le régime de retraite des
parlementaires
doit rester exorbitant du droit commun alors que les contraintes démographiques
"obligent" - si
l'on ne tient aucun compte des gains de productivité - à
une prolongation des cotisations de 5 ans pour le reste des salariés.
Sauvons les élus qui ont si bravement exercé la vigilance
promise}
62
Maxime MOULINER (Pessac)
"Réflexions sur l'avenir du PS"
=> Jaurès disait : "la solidarité c'est là
tout le socialisme"
* "Le PS se doit d'être une force de proposition permettant
de mettre en place un système d'économie solidaire"
{Pourquoi ne pas aller jusqu'à des Etats
généraux de l'économie solidaire ? Sans doute parce
que les EGEP ont été
organisés par les Verts et non par le PS.}
* "les politiques n'ont qu'une marge de manuvre très
faible pour influer sur la distribution des richesses" {soit,
mais cela n'excuse pas que cette marge, même faible, n'ait pas été
utilisée en période de croissance. Pourquoi ne pas reconnaître
que le gouvernement désavoué porte la responsabilité
de ne pas avoir respecté son engagement de baisser la TVA plutôt
que l'I.R., et que les élus du Parti ont tous voté les différents
budgets sans état d'âme ? Cette reconnaissance n'est-elle
pas un des préalables indispensables à toute "reconstruction"
? Ceux qui veulent encore l'éluder ne feront que retarder le changement
d'orientation proclamé comme nécessaire}
63
Section du TAILLAN MÉDOC =>
* "Nous sommes tous convaincus que Lionel J. était le meilleur
candidat de la gauche et du PS {pour la candidature
de 97, sa désignation n'a pas été due au fait que
la majorité des militants l'ait considéré comme meilleur,
mais au fait que celui qui était considéré comme
tel, Henri E., risquait des ennuis judiciaires, ce qui s'est d'ailleurs
réalisé ; pour celle de 2002, comment peut-on affirmer que
le meilleur représentant d'un parti ne soit pas de la couleur affichée
par le parti, puisqu'il reconnaissait que son programme n'était
pas "socialiste" ? Sans doute est-il fait allusion au
Parti dont certains militants se voudraient socialistes mais qui acceptent
que la majorité des élus se proclame social-démocrate
et que la direction fasse une politique socio-libérale ?}
* insuffisances de l'équipe de communication {c'est
la faute aux lampistes ! Ne faudrait-il pas reconnaître plutôt
que c'était une mission impossible de "communiquer" sur
la TVA, Vilvoorde, Michelin, FT...juqu'aux décisions prises à
Barcelone ? Ce n'est pas la façon de communiquer qui est à
mettre en cause mais le contenu du message qui n'était plus crédible}
* Les gens d'en-bas n'ont pas compris {c'est la
faute du peuple, il faut s'asseoir sur le suffrage populaire. Le concept
du peuple souverain, de la volonté du peuple était sans
doute trop radical aux yeux des royalistes, mais s'il l'est toujours,
"serait-ce possible alors" qu'il y ait des "Orléanistes"
déguisés en républicains au sein d'un parti dit socialiste
?}
* digne 1er ministre {peut-on être bien fier
pour Michelin, Vilvoorde.., de certains rendez-vous nocturnes avec le
patron du Medef, et de certaines décisions prises à Barcelone
?}
* nos ex dirigeants ont perdu faute de simplicité {un
peu simple comme explication, et de la même eau que l'argument selon
lequel il faut renforcer le statut de l'élu parce que sa tâche
est plus complexe. N'ont-ils pas déçu plutôt parce
qu'ils n'ont pas conduit une politique vraiment "de gauche"
?}
* pour certains, être "plus à gauche", c'est revenir
en arrière {en arrière, nous ne voyons
pourtant point de "démocratie participative", mais sans
doute vaut-il mieux être moderne et privatiser. Malheureusement
pour ceux qui en sont restés là, si leurs "dignes"
dirigeants en ont abusé certains (FT), ils auront du mal à
recommencer.}
* Martine Aubry porte une lourde responsabilité. {plus
lourde que la responsabilité de ceux qui ont donné leur
agrément au 1er volet de la "Refondation Sociale" ? N'a-t-elle
pas eu le bon goût / la prudence de partir juste avant ?}
* "Nous nous revendiquons de la Social-démocratie. Il serait
temps que le PS devienne un parti social-démocrate" Pour la
Section, signé la Secrétaire. {cf.
contrib. 44 : les choses sont claires,
l'usage du terme "socialiste" est donc abusif, de même
que la notion de débat unanimiste ("Nous sommes tous..")
des militants dans un texte "inspiré" par sa secrétaire.
L'indigence de son argumentation est rassurante. Contribution suivante
!}
64 Roger LEVY "Réflexions
pour comprendre un échec" =>
* "L.J., victime d'une coalition conjoncturelle" {se
limiter à la conjoncture, c'est refuser le bilan, oublier que des
signes forts de désaccord avaient été donnés
lors de partielles antérieures et de 2 référendums.}
* causes sociologiques : le désintérêt {faux
: voir contrib 46 }, l'abstention
{celle-ci est une conséquence, et le fait
de confondre les 2 explique pourquoi vous n'arrivez pas à comprendre}
* nombre des candidats {le nombre explique-t-il
la progression de l'extrême gauche ?}
* le problème de l'insécurité
est réglé aujourd'hui {nous sommes
heureux de l'apprendre, mais comment expliquer que d'autres disent que
Sarko ne fait que cacher le problème, non le régler, ou
disent que la précarité ayant progressé, l'insécurité
économique induit nécessairement l'insécurité
sociale et que la répression ne pourra régler le problème
puisque sa cause n'est est pas traitée ? cf. Attac sur la "spirale
régressive de l'insécurité"}
* "pb des 6 derniers mois de gouvernement" {une
des rares contributions qui va plus loin que la campagne. Encore un effort,
plus que 4 ans et demi à prendre en compte pour avoir une vue globale
du bilan !}
* la place des militants versus 1 parti de notables, d'élus {bien
vu, mais croît-il que la place des militants deviendra centrale
sans résistance acharnée de ceux qui ont le pouvoir, celui
précisément que ces militants leur abandonnent en continuant
à leur signer des chèques en blanc ? Ne voit-il pas au contraire
que même à l'occasion d'un "débat militant",
ils essaient de renforcer leur statut alors que la précarisation
du reste de la population - y compris des militants - est la grande absente
de ce débat ?}
65 Jean françois
NALLET (Bx Sud) (cf. contrib.
67) =>
* ne pas accepter la déqualification du travail, reconnaître
l'expérience et les activités d'aide aux personnes
{et, plus globalement, toute activité utile
non reconnue, pas ou mal rémunérée : travail domestique,
associatif, cognitif}
* formation tout au long de la vie=condamnation à l'école
a perpétuité
{s'il s'agit de stages parking, peut-être,
mais contester la forme donnée à la formation n'implique
pas un refus de l'idée de formation permanente, car ce serait contradictoire
avec le fait de postuler que l'expérience est une auto-formation
continue}
* retrouver sa dignité {nous y sommes ! (voir
la page "1 peu
de respect!") : il me semble qu'il faut commencer par ne
plus accepter d'être un simple porte-tracts rédigés
par un quelconque bureau, et pour y arriver lutter concrètement
à "décloisonner" les sections dont les
chefs eux, ont compris l'avantage de se concerter.}
66 Philippe PLISSON
(St Ciers ;Maire de St Caprais de Blaye,Vice Présidt du Conseil
Général) "La décentralisation
au service des citoyens" =>
* Le département ne doit pas être amputé de
l'essentiel de ses missions et se retrouver cantonné dans le rôle,
bien ingrat s'il est exclusif, de "centre départemental d'action
sociale". {il est un peu délicat de
commencer par un plaidoyer pro domo lorsqu'on veut faire valoir l'intérêt
général. Nous savons que le rôle économique
de la région est plus gratifiant que le rôle social du département,
mais nous savons aussi que pour les "gestionnaires" (voir le
débat Rousset-Valade), le social est hors-sujet, de même
que l'importance des budgets de fonctionnement. Peut-être notre
maire a-t-il besoin de la visite de soeur Emmanuelle ou de l'abbé
Pierre pour s'apercevoir de la noblesse de leur engagement social. Nous
aurions accepté plus facilement de défendre les missions
du CG si sa Présidence était moins marquée par un
caciquisme "familial" et si elle n'était pas injoignable
à Noël aux 40% de citoyens qui eux ne partent pas en vacances.}
* "Le scrutin à la proportionnelle envisagé
non seulement pour les régionales, mais aussi pour les cantonales,
est beaucoup plus confortable pour les candidats, surtout s'ils sont membres
d'un gros parti, mais il se révèle complètement frustrant
pour l'électeur qui n'a plus localement d'interlocuteur de proximité
et perd donc irrémédiablement le contact avec ses élus."
{c'est au contraire le scrutin majoritaire à
2 tours qui a permis au gros, dont le PS, de ne pas passer entièrement
à la trappe, et ce n'est pas en inversant la réalité
que les couplets sur la "proximité" cacheront le refrain
d'une meilleure représentativité ni l'aspiration à
une démocratie plus participative : l'absence d'une "certaine
dose de proportionnelle" et le manque de représentation des
citoyens qui en découle n'expliquent-ils pas la déconnexion
du peuple avec ses "représentants" et la progression
de l'abstention ?}
67 Jacques RESPAUD (Bx
Sud) (cf. contrib.
49 et
54) "La démocratisation
de la vie publique, ce n'est pas seulement la réforme des institutions"
=>
* la présence au sein des Conseils d'administrations de représentants
des salariés doit être assurée avec voix délibérative
à l'instar de ce que l'on a fait pour les entreprises du secteur
public.
{quant à la masse croissante des exclus ou
précarisés, il va de soi, comme le disait le porte-parole
du MJS girondin, qu'ils n'ont droit à aucune représentation,
ne serait-ce qu'au bureau fédéral, et nous sommes toujours
à la veille d'une déclaration d'intention contraire de la
part des sociaux-démocrates}
* Pour résoudre la crise de confiance, la réforme des institutions
en est un élément mais la décentralisation et surtout
l'approfondissement de la démocratie sociale en sont les conditions.
{pour résoudre cette crise de confiance,
pourquoi l'élu ne prend-il pas une position claire sur le non cumul
- "chère Conchita !" - et peut-on attendre des militants
- notamment de Bx-sud - qu'ils l'exigent ? Pourquoi n'évoque-t-il
point les devoirs du candidat de refléter dans leur profession
de foi les orientations de la section (les "précaires"
de Bx-Nord ont ainsi fait campagne pour quelqu'un qui ne les représentait
pas, et sur la plate-forme "petit commerce et patrimoine"),
celui de rendre compte aux militants ni de ceux de l'élu de rendre
compte aux citoyens ? Avant de s'attaquer à la démocratie
sociale, ne faut-il pas commencer par le plus facile pour un parti politique,
la démocratie politique dans le parti ? Doit-on aussi passer à
la trappe le droit de vote des travailleurs étrangers aux élections
locales ?}
* - une réforme de la fiscalité locale est une priorité
:
{pourquoi seulement locale, la TVA serait-elle un
impôt sinon progressif, du moins proportionnel à la capacité
contributive ?}
* revitaliser le Parlement (parlementaires à plein temps dans le
cadre d'un statut de l'élu, dose de proportionnelle, initiative
législative, contrôle, commissions, obligation pour le gouvernement
de rendre régulièrement compte de l'application des lois
votées, droit de saisine de la Cour des Comptes, le droit d'interpellation
par les députés d'un ministre) * décentralisation
* la démocratie ne se réduit pas à des "mécanos
institutionnels". S'il s'agit d'un projet de société,
elle passe par une redéfinition des relations sociales, des relations
entre loi et contrat. Le dialogue social est la condition du changement
social. Cela suppose : de reformuler la règle de la représentativité,
la règle de l'accord majoritaire {fort bien
de reconnaître maintenant la justesse de ma position, mais que ne
l'avez-vous fait lors de la signature du Pare dans lequel vous ne distinguiez
que son seul avantage, la non-dégressivité, qui est d'ailleurs
remise en cause ?} Favoriser le développement de la négociation
collective en privilégiant la branche comme base {alors
qu'on a privilégié l'entreprise pour les 35h} , Conférence
nationale avec l'ensemble des partenaires sociaux, des syndicats plus
forts {à l'Unédic sans doute, car
les principaux intéressés n'ont pas à donner leur
avis et les assoc. de chômeurs sont bien ingrates de ne pas saluer
la place que s'y est faite la CFDT}, des représentants des
salariés au sein des CA. {Nous parlerons
une autre fois d'une représentation des c&p dans les instances
du PS car nous préférons commencer par le plus difficile
;-) }, à l'instar de ce que l'on a fait pour les entreprises
du secteur public {et que nous avons élevé
le % d'emplois précaires à 1/3 dans la fonction publique
territoriale et par là agrandi l'écart avec les salariés
à statut ; idem en ce qui concerne la baisse de l'imposition des
stocks-options. Votre voisin de Défi est-il toujours satisfait
d'avoir acheté des actions F.T. ? Et puisque vous reconnaissez
la justesse de ceux qui sont traités de "radicaux"
par ailleurs, il est temps de dire explicitement que les "plus
à gauche" doivent être aux commandes, sachant qu'il
sera malgré tout difficile de convaincre le peuple de gauche, dont
une partie considère déjà que le caciquisme est tellement
ancré dans l'appareil qu'il n'est pas possible de croire des "rénovateurs"
qui parlent "d'autisme social" à propos des verts
sans évoquer la "forteresse vide de la redistribution"
tenue jusqu'ici par les socio-libéraux }
68 Mamadou Kouma (Cenon),
Yannick Ségura (Ste Eulalie), Alain Rocher (Castelnau-Médoc),
Responsables associatifs & syndicalistes : "Un
parti de nouveau crédible..." => "La crédibilité
de notre parti repose également sur notre capacité à
renouveler nos instances dirigeantes." {Enfin
du crédible ! Merci. Peut-être fallait-il aussi, puisque
les responsables parlent beaucoup du statut de l'élu, évoquer
en parallèle le statut du militant associatif / syndicaliste.}
69 Section de ST MÉDARD
Comptes rendus d'ateliers de travail =>
* "les réformes ne sont pas allées jusqu'au bout et
certaines ont été mal préparées (35 H, réforme
des impôts ; le débat sur les retraites qui a été
repoussé d'année en année)".
* "relancer nos actions de propagande" {inconscience
ou lucidité involontaire ? Contribution suivante !}
70 Section de ST SULPICE
ET CAMEYRAC => "Mauvaise communication... le gouvt n'a pas
su les (sic) communiquer... campagne mal menée... le manque d'écoute
du peuple de gauche" {répéter
les même arguments conduit à donner au lecteur le sentiment
qu'on le prend pour un imbécile,et si cet autre est moi-même,
sachez que, s'il est prêt à pardonner les faiblesses de forme,
il n'a pas pour autant l'intention d'accepter l'indigence du raisonnement.}
* aboutir à 1 seul candidat de Gauche aux Elections {nous
supposons qu'il s'agit d'un candidat du PS. Nous avions bien subodoré
que leur seule ambition était électoraliste (voir mots-clé),
nous en avons confirmation, nous ignorions simplement que dans le plaisant
bric-à-brac du PS, le porte-avions avait détrôné
le raton-laveur}
71 Section de VILLENAVE
D'ORNON => * "l'utopie se crée dans la durée
; il faut avoir un "porteur d'utopie" pour l'incarner : l'utopie
de Jospin" {on se prend à rêver
de 2nd degré, mais on ne peut que compatir avec ceux qui croient
tellement peu à la réalité de leurs désirs
qu'ils brident jusqu'à leurs rêves. Le PS est donc dans la
même situation d'agonie qu'à la fin de la 4° république
où le recours au Sauveur providentiel pouvait se comprendre. Quant
à un come-back, ceux qui ont rappelé Tapie à l'OM,
qui lui a pu être crédité d'un certain charisme, viennent
de comprendre que l'histoire ne repasse pas les plats. Enfin, pour la
durée, nous avons déjà donné : il y a 5 ans,
ceux qui nous prêchaient la patience ont eu tout le temps et une
conjoncture de croissance.}
* "travailler à l'efficacité des 1ères mesures
à prendre" : {la 1ère mesure
prise par l'ex-gouvernement n'a-t-elle pas été de donner
un coup de pouce au SMIC en ignorant les millions de gens qui vivaient
avec un revenu inférieur. "Donner + à ceux qui ont
moins" était sans doute utopique, mais ne même pas donner
autant et s'obstiner jusqu'à la veille des cantonales à
parler de gens "manipulés" reste inadmissible. F. Hollande
ne vous manipule-t-il pas lorsqu'il vous signifie que "le débat
est clos" ? Pour ce qui est de la gestion efficace, les militants
de Villeneuve auraient sans doute intérêt à lire les
contributions 33, 35
et 58 (Gradignan) et ce que nous
sommes un certain nombre à dire sur la gestion de l'ANPE. Fermez
le ban.}
* "rester fermes sur les principes" {fort
bien, dans ce cas il faut essayer de répondre au problème
posé par ceux qui dès le début ont renié le
principe d'une fiscalité plus redistributrice : peut-on ignorer
à ce point le suffrage populaire et se contenter de dire que le
peuple n'a pas compris ?}
* la parité (cf.
contrib. 51) {on
ne peut nier qu'une meilleure représentativité des femmes
en politique soit un progrès, mais bien des bastilles restent à
prendre (n'est-il pas révélateur qu'à la Fédération
les portraits des grands socialistes - Jospin au dessus de Jaurès
- soient dans la grande salle, et que Louise Michel soit reléguée
dans une petite salle ? Sans doute que cette communarde était un
peu trop "radicale" au goût de certains). De ce côté-là
aussi, ceux qui critiquent systématiquement les Verts auraient
intérêt à baisser d'un ton.
Pour celles qui soutiennent une orientation social-démocrate au
PS, en niant ou en minimisant la dérive socio-libérale,
je dirai qu'elles mettent en balance le gain de représentation
politique avec la perte plus importante sur le plan de l'autonomie économique
: le fait d'avoir cédé aux chimères libérales
et accompagné la précarisation entraîne ipso facto
que les catégories les moins reconnues (immigrés, chômeurs,
femmes) en sont les 1ères victimes.}
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