51
Commission fédérale FEMMES
"Refonder le politique" =>
Parité(cf. contrib.
39 et contrib.
71 ): le mandat intercommunal,
qu'on présente comme technique alors qu'il est politique, n'a pas
été comptabilisé. Le cumul des mandats dans le temps
n'a pas été envisagé. La loi sur la parité
"n'a eu aucun effet sur l'exclusion renforcée des populations
étrangères vivant sur le territoire national." {Les
"Françaises" aussi ont perdu sur le plan de la parité
économique puisque la précarisation des emplois s'est accentuée
et que ce sont les populations les plus fragiles qui en sont les 1ères
victimes.}
Vote des étrangers, statut de l'élu et de l'opposition municipale.
Séparation des pouvoirs exécutif-délibératif
La participation citoyenne entre deux
élections fait très peur. La concertation pendant un mandat
est nécessaire.
52
Matthieu Rouveyre (Bx centre cf.
13,17,18,37,41), Mathieu Hazouard et Jérémy
Cohen (Bx Sud), Emilie Coutanceau (Eysines), Amélie Langlais (Talence),
Julien Olivier(Léognan), Frédérique Brun (Bouliac)
: "Europe,qu'est
tu devenue ?" => Qu'ont fait les socialistes en Europe
pendant ces cinq dernières années quand l'ensemble des pays
européens avait un gouvernement socialiste ou social démocrate
à sa tête ? Où est passée la garantie de droits
sociaux : salaire minimum, normes sociales, protections sociales qui empêchent
tout pays de l'Union de pratiquer le dumping social ? {c'est
donc bien les socio-démocrates qui ont construit une Europe plus
libérale que sociale, et les pseudo-socialistes du PS devront le
reconnaître} * affirmer le primat du politique sur l'économique
(banque centrale indépendante de tout contrôle politique).
* inscrire la Charte des droits fondamentaux au préambule de la
future Constitution Européenne {ou
Un "Habeas corpus"
Européen }* parlement aux
pouvoirs élargis
{l'importance donnée à l'Europe dans
beaucoup de contributions et le peu de place accordé au bilan permettent
de conclure à un certain évitement du débat sur les
responsabilités et sur le leadership. Il serait peut-être
gênant pour le MJS de parler d'une meilleure représentativité
: leur ex leader girondin notamment refusait aux autres la représentation
dont il profitait lui-même, et son argument sur le fait que les
chômeurs n'avaient pas à être représentés
par qu'ils n'étaient pas une classe sociale est nul puisque la
jeunesse n'est pas non + une classe. Idem enfin pour le social-traître
et transfuge de
Bacalan (qui a maintenant le culot de se réclamer d'Auguste
Blanqui, DSK
se contentant de Jaurès !) qui se plaignait que les rats des villes
soient sous-représentés. Je crois l'avoir écrit il
y a 5 ans : sans un minimum d'exemplarité, perdez toute espérance}
53
Section de COUTRAS =>
* 35 h :"les travailleurs qui n'ont pas compris" {ils
ont bien compris qu'avec l'annualisation, la négociation au cas
par cas par entreprise, les cadeaux sans contrepartie suffisante d'embauche
(Aubry 2), et le gel de leur pouvoir d'achat, que le "cadeau"
des socialistes était quelque peu empoisonné}
* indécision, manque de directivité, report du dossier retraites
{report ? Et Barcelone ? Lire : "Les
retraites en (10) question(s)" }
{il fallait bien, puisque les fonds de pension ne passaient pas, les habiller
en "fonds d'épargne salariale"}
* on a laissé à la droite le dossier de l'insécurité
{n'a-t-on pas plutôt rivalisé avec
elle dans la lepénisation ?}
* beaucoup ont perdu leurs repères {on ne
leur fait pas dire !}
54 Arnaud DELLU, Jacques
RESPAUD (Bx Sud) (cf.
contrib. 49 et
67) , Hervé GILLE (cf.
contrib. 42) "Un
débat pour une clarification nécessaire" =>
En-tête = "Socialisme & démocratie" ; info
: arnaud.dellu@wanadoo.fr
* la réforme du fonctionnement du PS est prioritaire. {c'est
plutôt 1 fonctionnement démocratique de toutes les composantes
de la gauche qui est prioritaire, même s'il y a + de nettoyage à
faire de la part du PS que des composantes du mvt social ou des environnementistes
qui ont 1 longueur d'avance en ce domaine ; n'en déplaise à
ceux qui ne voient que leur boutique}
* ceux qui se contentent d'un slogan - "être plus à
gauche" - mesurent que nous sommes confrontés à un
défi d'une toute autre ampleur. {lequel ?
décentraliser sans aller jusqu'à s'interroger sur la démocratie
dans la section, on suppose. Une orientation fiscale néo-libérale
n'est-elle aussi qu'un slogan ou les contributeurs prônent-ils une
baisse de l'IR plutôt que de la TVA ?}
* un plus grand rôle des sections dans les fédérations,
et des fédérations dans le PS sont nécessaires.
* le "pôle de radicalité" s'organise...contre le
PS. {non ! pour un Parti "Socialiste"
et contre un Parti Social-Démocrate dirigé par des Socio-Libéraux}
* privilégier "construire ensemble" {oui,
mais pas avec les socio-libéraux car le peuple vous l'a fait savoir
et vous ne pourrez le dissoudre}
* avoir le courage de formuler ses analyses et ses positions : {nécessaire
mais pas suffisant, encore faut-il ne pas s'aligner sur les positions
libérales et/ou fasho-populistes (sécurité) ; même
si DSK a confessé certaines de ses dérives ou si François
H. reconnaît enfin avoir fait des erreurs avec F.T., cela ne justifie
pas de les laisser aux postes de commande car il ne s'agit pas de changer
de personnes mais de changer d'orientation. Assez avec la défense
catégorielle de la classe moyenne : l'exemple de leur paupérisation
relative aux USA ne vous dessille-t-il pas ? Le défi est effectivement
d'une toute autre ampleur que celui du statut de l'élu puisqu'il
s'agit de celui du citoyen. Vous n'êtes délégués
que par la volonté du peuple, et vous serez démis désormais
sans comprendre comme aujourd'hui que le 21 Avril et le 11 Septembre sont
issus d'un processus plus vaste. Lorsque beaucoup (et notamment les privatisables)
ont maintenant compris que la social-démocratie ne faisait que
ralentir la progression du néo-libéralisme, peu étonnant
que la seule justification d'un vote en faveur du PS par "le moins
pire" ne soit plus opératoire et que les 2 seuls recours -
le vote "+ à gauche" ou l'abstention - aient été
largement utilisés. Ceux qui prônent encore le "réformisme
mou" risquent d'être déçus lors des
prochaines échéances.}
* La controverse entre réforme et radicalité doit être
tranchée. Les radicaux poursuivent le rêve de construire
le socialisme dans un seul pays {n'importe quoi
: les trotskistes, + "radicaux" que les "radicaux du PS",
se sont justement trucidés avec les staliniens sur ce point ; ignorants,
ou "négationnistes" ?}, se veulent uniques détenteurs
de la "pureté".
{c'est le contraire puisque c'est ce qui est principalement
reproché aux "hégémoniques" jusqu'alors
si sûrs d'eux : de se croire "oints" et de mettre en oeuvre
"leurs" plate-formes, alors qu'ils ne sont que délégués}
et n'en finissent pas d'instruire le procès de la gauche au pouvoir
{mais qui donc prétendait au "droit
d'inventaire" ? N'est-ce pas là un amalgame facile permettant
d'éluder un véritable bilan ?}.
Les réformistes savent que c'est pas à pas, mesure après
mesure, avancée après avancée, que l'on défend
réellement les intérêts du peuple
{le peuple n'est pas d'avis qu'on appelle avancée
une reculade, et si ce sont les travailleurs / précaires /chômeurs
qui n'ont pas compris "l'avancée" du Pare, dissolvez
le peuple qui s'est aperçu que ces "réformistes"
n'avaient pas pris les mesures préconisées par la Commission
Européenne sur le transport maritime, que dans d'autres domaines
sensibles (nucléaire, OGM), ils avaient fait peu de cas du "principe
de précaution", et qu'ils avaient baissé l'imposition
des stock-options et l'IR plutôt que la TVA contre l'intérêt
du peuple. Si vous ne comprenez pas ça, la nouvelle gauche alter-mondialisation
se fera non contre vous, soyez sur ce point rassurés - mais sans
vous}
* une réelle égalité des opportunités pour
chacun, tout au long de sa vie
{on suppose qu'il y a égalité entre
le fort et le faible, l'employeur sur le salarié, puisque - avec
le Pare - vous acceptez la prééminence du contrat sur la
loi. Le temps de l'égalité formelle est passé et
l'histoire ne repasse pas les plats, ceci dit sans le moindre zeste d'animosité
mais uniquement pour éviter les conséquences schizophréniques
qu'implique la fracture entre la "déclaration de principes"
et leur application.}
* Que voulons-nous ? D'un socialisme qui vienne, après coup, réparer
les dégâts du capitalisme ?
{nous voulons encore moins de socio-libéraux
qui jouent au pompiers-pyromanes : politique fiscale libérale et
non socialiste ; démission du politique face à l'économique...}
* inventer des instruments de régulation
{au niveau mondial et européen, fort bien,
mais la démocratie s'arrête-t-elle non seulement devant la
porte des entreprises mais aussi devant celle des sections ?}
* une République donnant un espace à la démocratie
sociale
{c'est pourquoi nous ne voulons pas de l'Europe
sans dimension sociale que nous ont modelé les socio-démocrates/libéraux.
La subsidiarité répressive à la sauce techno est
éventée. La démocratie participative va inéluctablement
se substituer à une démocratie qui est déjà
en partie reconnue comme non représentative. Ses premières
mises en oeuvre sont déjà plus convaincantes que le modèle
néo-libéral auquel même certains de ses représentants
(BM, FMI) ne croient plus. Quant aux socio-démocrates, ceux d'entre
eux qui veulent se démarquer des socio-libéraux sont bienvenus,
mais s'ils veulent réellement affronter le défi de la mondialisation
néo-libérale, ils devront admettre que la social-démocratie
n'est plus en mesure de s'opposer à son expansion (cf. contrib
4) }
* Un Parti Socialiste à vocation majoritaire
{le peuple ne vient-il pas justement de rejeter
une telle majorité uniquement "électorale" ? Entre
la logique citoyenne et la logique Partisane hégémonique,
l'histoire va trancher}.
55 Thierry DIMBOUR (Bx
Centre cf. contrib.
17)
, Marion PAOLETTI (Lormont cf.
contrib. 34 et
son article pour la C6R : Démocratie
locale participative) "La
réforme des institutions, un horizon pour la gauche"
=>
* les milieux populaires ne se sentent pas représentés {le
sont-ils ?} par des professionnels de la politique, très
majoritairement cumulards,
essentiellement masculins et sur-sélectionnés socialement.
* La Constitution à venir est un projet social pour la gauche
{l'application du préambule de la constitution actuelle, basée
sur la déclaration des droits de l'homme, est sans doute à
ignorer cf. la page Référendum}
* Le bilan n'est pas bon. Il est timide, pour des raisons qui nous
incombent directement parfois {lesquelles ?},
ou du fait de la rigidité des institutions.
* mandat unique pour les député-e-s {fort
bien, mais lequel de nos 5 députés girondins s'y pliera,
et qui les y contraindra comme cela se pratique chez les Verts tant décriés
? Mystère. C'était déjà la position du 1er
secr. fédéral il y a 5 ans, et il n'y a de solution que
par une représentation et un fonctionnement réellement démocratique
à tous les niveaux et déjà au niveau des sections,
et donc une mise en cause de la relation militants-candidats/élus
et plus généralement du contrôle effectif de la délégation
des pouvoirs}
* Allons-nous enfin mettre en accord pratiques internes et déclarations
d'intentions ? {il est sûr que ce n'est pas
en donnant quitus à un bilan tronqué et en ne mettant pas
en cause - au nom de l'unité du parti - ceux qui n'ont pas fait
la politique décidée que l'on a la moindre chance d'y parvenir.
A vous de ne pas abandonner le combat, notamment en ne considérant
pas comme définitif ce que les chefs veulent vous faire croire
: que "le débat militant est clos depuis le 15 Décembre".}
56 François DUPONT
(Auros) => "Pouvons-nous ...? Nous le
pouvons, et nous le devons." => {à
condition d'être cohérent et d'en déduire que "nous
devons" écarter des commandes ceux qui disaient ne pouvoir
rien faire (Michelin...), ont refusé de taxer ceux qui délocalisaient
et pratiquaient des licenciements boursiers, ou prétendaient que
la taxe Tobin était irréalisable.}
57 Muriel DUROURE (Lormont)
"Des sections pour un projet" =>
* proposer 1 programme de gouvernement à l'issue du congrès
{plus qu'un programme, c'est la certitude de le
voir appliqué qui est la pierre de touche de la crédibilité
du Parti, et ceci implique de renoncer à un comportement hégémonique
dans un gouvernement pluriel : Shroëder ne peut déjà
plus gouverner sans le support des grünen, et les éléphants
du PS devront se résoudre à respecter le suffrage populaire
et à accorder aux autres la place qu'ils leur ont nié. Si
nous risquons un "Nouvel An au goudron", c'est que la majorité
des gouvernements socio-démocrates européens n'a pas pris
les mesures qui s'imposaient après l'Erika}
* faire remonter les propositions de la base {le
GSCP l'a fait il y a 5 ans avec les propositions
sur la loi contre les exclusions et la participation aux forums
de l'emploi. Les "faire remonter" ne suffit donc pas, encore
faut-il qu'elles soient prises en compte et qu'on commence à appliquer
les principes définis dans le préambule de la constitution
(le "droit à un revenu décent" n'implique-t-il
pas la prise en compte de critères tels que le seuil de pauvreté
?) avant de parler de réforme des institutions, de 6° république
ou d'Europe.} .
58 Section de GRADIGNAN
=> * Décentralisation > statut de l'élu
* Services publics : "l'acharnement européen contre les monopoles
publics." {européen ne veut-il pas dire
des gouvernements socio-démocrates européens, et donc l'acharnement
de Jospin, DSK
et consorts sur les secteurs de l'énergie, des transports et de
la communication ?}
* "les méthodes douteuses de gestion des personnels
semblent atteindre les entreprises de services publics. La recherche d'une
rentabilité de façade (croissance du nombre de dossiers
traités) dans les administrations (CAF, Poste, ...)" {Ceux
qui ont mis en oeuvre une telle orientation devraient rester aux commandes
du Parti au nom de l'unité ? A quoi sert de repousser les échéances
puisque la crédibilité du PS ne pourra être obtenue
sans changement d'orientation donc de direction ET d'un changement substantiel
de la relation entre base et délégués}
* "Progrès Social : c'est la précarité
du travail (temps partiel non souhaité, CDD...) qui constitue l'obstacle
essentiel au progrès social."
{là encore, un petit pas en avant - taxation
des heures sup. - et un grand pas en arrière : la politique des
primes au quantitatif à l'ANPE renforce le nombre d'emplois précaires,
le gouvernement en a lui-même créé avec les emplois
"aidés". Au passif du bilan, il faudra bien reconnaître
une "flexibilité" et un "contrôle social"
renforcés.}
* la gauche n'a pas été assez courageuse sur des sujets
de société comme l'intégration ou le vote des étrangers.
{assez d'euphémisme car les victimes méritent
un minimum de franchise : non pas "la gauche", mais le gouvt
a été "lâche" sur la question de l'immigration
et du droit d'asile : n'a-t-il pas été gelé à
l'OFPRA ? ( cf. article d'Attac sur "les
politiques de l'asile et de l'immigration" ). Les chiffres
ne parlent-ils pas d'eux-mêmes sur le qualificatif à utiliser
? Il est assez ironique de constater que même notre nouveau Ganelon
de l'Intérieur "paraisse" moins psycho-rigide sur la
double peine que l'ont été nos socio-libéraux}
59 Section de GUJAN
MESTRAS =>
* mise à l'écart des militants * positions déroutantes
(EDF..)
* "Oui au débat car il a cruellement fait défaut
au cours de la campagne" {ce n'est pas en limitant
dès le début le "droit d'inventaire" aux seules
erreurs de campagne que l'on ira bien loin : dès le début
et tout au long de la législature, le Parti n'a jamais exercé
la vigilance promise ; 2 ans avant la campagne la stratégie du
gouvernement a été essentiellement électoraliste
et l'indifférence populaire aux 2 référendums qu'il
a organisé n'a été prise au sérieux ni par
le gouvernement ni par le parti. Ce n'est pas non plus en acceptant que
le décret des "éléphants" considérant
"le débat clos le 15 Décembre" et en les laissant
mijoter leur cuisine que la démocratie participative avancera.
Le débat ne fait que commencer.}
* écuries présidentielles {là
aussi, c'est tout l'appareil du parti qui fonctionne ainsi, aussi bien
pour les législatives que pour les cantonales : dans tous les cas,
les militants ne sont que les porte-valises des orientations des candidats
: cf. la page "démocratie
dans la section"}
* BONZOM Jean-Pierre => absence de communication
sur le bilan ; L'essentiel des réformes se sont arrêtées
en 2000 ; syndicats mis sur la touche ; avant de parler de reconquête
de notre électorat, il serait bon que chaque camarade reconquière
son parti ; La loi qu'a fait voter Marylise Lebranchu en mars 2002 et
que soutenait furieusement Julien Dray (contrôles
au facies : délit de sale gueule) ; Et Vaillant
se plaignant que ''Sarkozy lui pique ses idées'', et Fabius
et Strauss Khan d'accords sur une privatisation
partielle de l'EDF, allant même faire de surenchère sur le
pourcentage à laisser au privé, ils ont oublié le
sort qu'ils ont réservé à France Télécom!!!
Ne parlons pas de Charasse à l'origine
de l'augmentation des ministres alors que dans le même temps ces
mêmes ministres refusent l'augmentation du SMIC. Non ces gens là
ne nous représentent pas, ne me représentent pas.
Il faut donc reprendre le Parti en main d'une façon démocratique.
Que les militants soient représentés au plus niveau ..
{bien vu, et pour que ce voeu se concrétise, à vous militants
de vous coordonner horizontalement}
60
Mireille KERBAOL
(Lormont, Membre du Comité régional de l'UE) "Une
gouvernance européenne au service des citoyens
"
=>{ l'Europe a bon dos, cela évite de
mettre en question la responsabilité des néo-libéraux,
responsabilité pourtant entière au regard de leur hégémonie
au gouvernement. Ceux qui parlent d'Europe ou de projet (contrib.
44) sont ceux qui éludent le bilan }
* Secret bancaire & Paradis fiscaux {mais qui
donc soutenait que la taxe Tobin était "irréalisable"
et bloquait les frontières aux militants d'Attac ? Pourquoi la
majorité des gouvernements socio-démocrates n'a-t-elle avancé
que dans la mise en place d'une Europe policière et n'a-t-elle
rien fait en matière de criminalité financière ?
Puisque, selon elle, les socio-libéraux auraient reconnu leurs
erreurs (cf. DSK),
est-ce encore la faute d'Henri Emmanuelli ? }
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