Deux saisons au Château Haut-Brion

Violences & Mépris : HISTORIQUE

par Alain DONNART


"L'ignorance, l'oubli ou le mépris des Droits de l'Homme
sont les seules causes des malheurs publics"


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1999
25 Septembre Lettre au Chef de Cultures.
13 Octobre Réponse du Directeur : il annonce une enquête.
14 Octobre Lettre au Directeur.
3 Novembre Le Directeur réitère qu'il m'informera des résultats de l'enquête.
15 Novembre Il annonce l'envoi d'un Questionnaire.
28 Novembre Ma réponse au Questionnaire aux vendangeurs.


2000
1er Février Je m'enquiers des résultats de l'enquête auprès du Directeur.
3 Février Le Directeur demande des justificatifs de préjudice.
7 Février Je lui demande de reconnaître les atteintes à la dignité.
17 Février Le Directeur s'y refuse et me renvoie à ses avocats.
31 Juillet Je demande des informations au Chef de Cultures.
9 Août M. Delmas y répond et me renvoie à ses avocats.
9 Novembre Demande de dédommagement auprès du Directeur.


2001
10 Janvier Réponse de l'avocat : pas de reconnaissance des violences et demande des justificatifs de préjudice.
26 Janvier Mes commentaires : "S'il ne se repent ici, sa perte est résolue" (Dom Juan, V,5)
7 Février Lettre au PDG de la Sté DILLON S.A., Mme Joan Dillon, Duchesse de Mouchy.
30 Juillet Lettre au Prince Robert de Luxembourg,
Vice-Président et Directeur Général de la Sté DILLON S.A. (restée sans réponse).
1er Octobre Réponse du PDG, la Duchesse de Mouchy, à mon courrier de Février.
19 Octobre Ma dernière réponse avant dépôt de plainte pour en finir avec 2 ans de manoeuvres dilatoires.
25 Octobre Dépôt de plainte avec constitution de partie civile (brouillon).


2003
27 Mai Ordonnance de non-lieu délivrée avant que j'aie eu accès au dossier, et dans laquelle le juge expose complaisamment les allégations calomnieuses des coupables et me traite en suspect !


2004
20 Janvier Appel de l'ordonnance de non-lieu.
6 Avril Arrêt de la Cour d'Appel : elle a jugé que " l'information a permis de confirmer qu'Alain DONNART avait bien été victime de violences volontaires ", et ordonne un supplément d'information, commettant le juge en charge de l'instruction pour y procéder, avec mission (3°) de "faire tous actes utiles à la manifestation de la vérité".
12 Octobre Arrêt de dépôt de la procédure. Pour la 2nde fois, le juge clôt l'instruction avant que j'aie eu accès au dossier. De plus, il a enfreint l'ordonnance de la Cour en niant qu'il ait eu pour mission de "faire tous actes utiles à la manifestation de la vérité". Il a donc laissé les témoignages contradictoires en l'état et fait l'impasse sur les "complicités" des violences qui expliquent leurs récidives, ainsi que sur les excuses et les préjudices.
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