Bordeaux, le 17-4-2002
Suggestions pour un e-mail de protestation
Pour ouvrir un nouveau message, copiez d'abord le texte ci-dessous, puis cliquez sur une
des 2 adresses suivantes, collez le texte et modifiez-le à votre convenance.
Si votre courrier est refusé, changez le titre, et au besoin (les adresses d'expéditeur commençant
par ac- risquent d'être vite bloquées), prenez un compte email anonyme.
à adresser à : |
info@haut-brion.com |
ou à : |
ckuhn@haut-brion.com (Carla KUHN) |
copie cachée (bcc) : |
adonnart@free.fr   (ainsi, je saurai qui remercier) |
Titre : |
Non à la violence et au mépris, Oui au respect |
ou |
1995-1999 : millésimes de la violence
2000-2002 : millésimes du mépris |
ou |
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. |
ou |
"Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous" (Montesquieu) |
Les violences exercées pendant des années sur votre domaine
doivent être reconnues et des excuses doivent être présentées
non seulement par ceux qui les ont commises mais aussi par ceux qui les ont tolérées.
Le Directeur, M. DELMAS, bien qu'il ne puisse plus ignorer les violences qui
se sont perpétuées sous son autorité, non seulement n'a toujours pas eu le moindre
mot envers les victimes, n'a pas vraiment essayé d'obtenir leurs témoignages
circonstanciés, a manqué à sa parole de tenir informé la 1ère victime déclarée,
la traite d'importune, et couvre le Chef de Culture (qui en profite pour essayer
d'éluder les explications dues sur sa responsabilité dans la non-dénonciation
des violences observées), ...
Cette conduite est indigne du Directeur d'un 1er Grand crû Classé. Pour sa part,
le P-D. G. de la Sté DILLON S.A., Mme Joan Dillon, Duchesse de Mouchy, a mis plus
de 6 mois pour répondre, en ne faisant que confirmer la position du Directeur
sans toujours présenter d'excuses, mais en plus, m'accusant de "menaces",
"insinuations" et "diffamations" ! Apparemment
la violence a cessé, mais les excuses font défaut et le manque de respect, pour
ne pas dire le mépris, persiste. Il n'est pas décent de maltraiter les plus faibles
ni de les mépriser. Les travailleurs saisonniers ont aussi droit au respect.
Les associations de chômeurs et précaires, et moi-même en tant que citoyen,
dénoncent fermement ces comportements et exigent des
excuses, non seulement parce qu'il s'agit d'atteintes à la dignité, mais aussi
parce que cela risque fort de nuire au reste du personnel, et au-delà au prestige
de la région.
Si un changement n'intervenait pas rapidement, j'estime de mon devoir d'alerter
qui de droit et me solidariser avec les victimes jusqu'à ce que Justice
leur soit rendue.