Bordeaux, le 26-1-2001
Alain DONNART - Informatique et Traductions -Je n'ai pas l'intention de répondre à la lettre de l'avocat de M. DELMAS car je la considère comme insultante, puisque malgré l'enquête menée, les préjudices ne sont toujours pas reconnus mais qualifiés de "prétendus".
Je m'en tiendrai aux remarques suivantes :
1) Que M. J.B. DELMAS préfère donner de l'argent à un avocat plutôt qu'aux victimes - des saisonniers avec peu de ressources - aggrave son cas.
2) Puisque M. DELMAS ne reconnaît toujours pas la tolérance coupable du Chef de culture envers ces violences, et s'en rend même solidaire en me traitant d'importun, je considère qu'il refuse le règlement amiable que j'ai proposé. Je retire donc ma demande d'indemnisation tant que des excuses personnelles n'ont pas été présentées aux victimes, tant de la part des auteurs des violences, que du Chef de Culture qui les a tolérées, ainsi que du Directeur qui couvre ce dernier et s'en rend ainsi complice.
3) M° LINDNER aurait peut-être besoin d'être bâillonné et jeté en benne pour comprendre que les violences et les humiliations, ainsi que la tolérance de tels actes, sont le fond de l'affaire, les "gênes" évoquées n'étant qu'accessoires.
4) M° LINDNER devrait prendre connaissance du dossier : il semble ignorer qu'en ce qui concerne le nettoyage, j'ai écrit dans ma dernière lettre - du 9-11-2000 - que je lui en ferai grâce. Serait-ce que M. DELMAS ait omis de l'informer ? Quant à ses leçons sur la causalité, la seule chose qui soit "manifeste" est qu'un règlement amiable passe par la reconnaissance de la responsabilité de ceux qui ont laissé les violences continuer année après année.
5) Pour ce qui est des justificatifs, je pense qu'il appartient d'abord aux responsables des violences de présenter des excuses.
6) Il appartiendra à la Justice de juger des liens de causalité entre délits et peines sur les voies de fait avec préméditation et récidive (jusqu'à 7 ans d'emprisonnement), complicité, harcèlement, humiliations, gêne au travail, atteintes aux biens, enfin éloignement du lieu de travail.
7) Bien que M. DELMAS ne puisse plus ignorer les violences qui se sont produites pendant des années sous son autorité, non seulement il n'a toujours pas eu le moindre mot envers les victimes, mais il me traite d'importun et a essayé (en vain) de bloquer mes e-mails (info@haut-brion.com et ckuhn@haut-brion.com). Je demande donc à chacun de lui faire savoir par ce moyen (quitte à prendre un pseudo pour que le courrier lui parvienne) que son comportement manque de noblesse, que "science sans conscience...", qu'il ferait bien de s'occuper un peu moins des choses et un peu plus des gens, etc...
8) Ceux qui connaissent les personnalités (Alain ROUSSET, etc ) référencées sur son site (www.haut-brion.com/..Actualités) sont priés de les prévenir de ne plus se commettre avec ce personnage. Puisque le Préfet de Gironde y est cité, il serait bon d'obtenir son avis sur les gens de pouvoir complices de violences qui persistent à ne manifester aucune compassion envers les victimes. De même, je suis curieux de connaître la position de Mme Nicole Pery, Secrétaire d'Etat aux Droits des Femmes.
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